La chambre était noire, deux torches à chaque côté d’une grande boite, qui était ouvrir. Il y avait deux autres petites boites dans la chambre sombre et gêné, un de ces était aussi ouvrir, les contenus dans ces boites a dispersé sur le sol gris. La porte, gris et de métal était fermer, et au-dessus, un grand minuteur avec quarante-cinq minutes. Pourtant, quand nous avons regardé fugitivement au chronomètre, nous avons remarqué qu'il y avait seulement 60 seconds et il continuait d’égrener.
C’était le mois de février, la neige continuait de tomber du ciel gris. Le vent hurlait et l’air froid créait des petits nuages quand nous respirons. Pourtant, nous avons été excitées. Sur l’internet, nous avons trouvé un jeu, d’échapper par un chambre dans un temps limité. Les mots « Échapper de ce Chambre » ont été écrit avec un font large et mystérieux. Nous avons réservé une chambre toute de suite; nous avons voulu d'être comme Sherlock Holmes - trouver des indices et échapper!
Donc, nous nous trouvons dans une salle sombre et petite. Notre but était de trouver un « trésor » et d'échapper la salle. Nous avons été équipés avec deux lampes de poches et une lumière d’UV. Avec un bang retentissant, notre lien avec le monde extérieur était couper avec une porte lourd. Nous avons étendu le click clair de la serrure. Le chronomètre immédiatement a commencé de décompter les minutes. Quarante-cinq minutes pour trouver le trésor, quarante-cinq minutes d’échapper.
Immédiatement, nous avons utilisé la lumière UV et nous avons trouvé des petites empreintes qui nous nous guidé à un petit clé, qui ouvrent une grande boite trouver au milieu de la chambre. Dans la grande boite, il y a des bâtons, une boite plus petite, fermé avec une serrure à combinaison, et des numéros, entouré par des contours d’un triangle, une cercle ou un carrée. Il y avait aussi un contour d’une grand clé, qu’on a trouvé enchaîné a la grande boite, pourtant, la chaîne était trop court, et un contour d’une boussole.
Avec les bâtons, qui étaient classé avec des petites pièces des bandes colorés, nous avons remarqué qu’il y avait trois rouges, quatre jaunes et sept verts. Nous avons réalisé que les bâtons forment des numéros comme l’un dans une cloche digital, donc la seule possibilité de chaque numéro de bâtons colorées était sept, quatre et huit. En utilisant ses bâtons, nous avons ouvert la petite boite. Et puis nous avons ouvert un des petits coffres. Nous avons regardé le temps, il y avait encore onze minutes qui restes. Le dernier petit coffre était encore fermer, pourtant, nous avons eu beaucoup du temps.
En observant la devinette qui nous présentant, nous pensons d’une façon de ouvrir la petite coffre. La grande clé était encore enchaîner et nous ne prouvent pas trouver la signification de les numéros entourer par les formes géométrique. Nous avons regardé longuement au nouvelle devinette: une planche avec un diagramme très étrange.
« Ca fait rien de sens, j’ai plaints, en soupirant.
- Pense de quelque chose! On a onze minutes qui restent!
- Et donc pourquoi tu ne fais pas quelque chose? J’ai résolu toutes les autres, et bien mon cerveau est fatiguer! Maintenant c’est ton tour!
- Mais je ne sais pas de quoi faire non plus! » elle a gémi.
La tempe continuait de s’éclipser, on reste 5 minute, pour ouvrir le dernier coffre et de n’importe quoi d’autre dans la boite.
« Dépêche-toi! ma sœur a paniqué quand elle regard la tempe qui reste.
- Tu fais quelque chose! j’ai rétorqua, en cherchant désespérément pour un indice sur la planche.
- Quatre minutes! On a quatre!
- Oui, oui je sais! Aide-moi! » j’ai lui hurla.
Avec moi, nous regardons la planche, le diagramme étrange et les numéros dans le grand coffre.
« Je ne peux pas le résolu! » j’ai gémi.
« Je me demande de quoi pense les peuples à l’autre cote de cette port. Ils doivent penser que nous sommes fous! » ma sœur a rigolé, en renoncent le planche.
« Avec tous les bruits qu’on a fait, bien sûr! » j’ai ri.
Je m'ai levé et surveillé la salle. La chambre était noire, deux torches à chaque côté d’une grande boite, qui était ouvrir. Il y avait deux autres petites boites dans la chambre sombre et gêné, un de ces était aussi ouvrir, les contenus dans ces boites a dispersé sur le sol gris. La porte, gris et fait de métal a été fermer, et juste à haut, un grand minuteur avec quarante-cinq minutes. Pourtant, quand nous avons regardé fugitivement au chronomètre, nous avons remarqué que nous avons seulement 60 seconds et il continuait d’égrener.
« Soixante seconds » j’ai murmura.
- Dix!
- Cinq!
- Trois!»
Dans les deux seconds derniers, on a regardé la planche une dernière fois.
« Nous avons raté » ma sœur soupira, juste quand notre dernier second est passé.
Un cri aigu retentit dans notre chambre. La porte est ouvert, et nous avons sorti.
« Eh bien, nous avons toujours la prochaine fois. »
It does not matter how slow you go so long as you do not stop.
-Wisdom of Confucius
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Wednesday, 18 March 2015
Winter Frost
The air was plunged deep into winter frost. Birds cried as they furiously flapped their way to warmer countries. Squirrels frantically scoured the lands to fill their stomachs before sleeping away their worries. Feeling the glacial mist enveloping the city, the animals cowered into dark corners. They waited for the frozen age to pass, they waited for the greenery to come back.
The trees shed their clothing, the pale snow too much of a burden for them. They rid themselves of their essence, stripped down to bare bones. The skeletal arms of bushes and shrubs line the neighbourhoods like lonely souls on an empty street without even a small bud of life.
The few remnants of leaves on the naked twigs were brown and shrivelled. They sagged under the loss of life, they hung down in shame. Even the force of a soft wind sent them fluttering into the breeze, flitting uselessly to the ground. The ground which was just as vacant; the patches of dirt were empty shells. The flowers no longer sang in the golden afternoon. The grass was yellow and wilted, they no longer rippled in the breeze.
But the life was still there, it was always there. Old lives were shed to make way for new lives. The trees said farewell to their leaves in the expectation of even greener ones. They lost their colourful flowers only to welcome fresh buds of the spring. The leaves that they rid of would grow back more abundant than ever. Trees needed to keep up with the style too, their new leaves being 'in' while the old ones were 'out'. The dated flowers were put to rest for a brighter garden.
Animals bred in foreign countries. Birds flew miles away only to return stronger, more experienced. Squirrels took a rest to enjoy the joyous chorus come spring. Nature is cleansed, renewed to the next vitality.
Then, the first flake fell. It melted as soon as it touched the still warm earth. However, a thin sheet of snow soon layered the ground, the hills, the unprotected trees. The thin sheet promptly transformed into a frozen blanket. The roads showed signs of strain with each snowflake. The air was a flurry of snow, mist and frost.
Drivers pulled their hair off trying to see through the storm. Some cars skidded precariously close to the side walk. They drove through blind boundaries, everything covered with the treacherous snow. Each car was more hesitant than the other. They propelled their way slowly through traffic, careful not to bump into one another.
Monstrous snow plow trucks drove steadily down major streets, pushing tons and tons of snow off the road. As the white blanket was being removed, more just continued to pelt down. Some vehicles broke down and ceased to continue moving. Their wheels got stuck in the snow turning uselessly.
Walking conditions were more or less tough. Knee deep snow, getting everything wet. The sidewalks were piled over with mountains. People huffed trying to swim their way through the streets. With the heavy winter-wear, transportation by foot was arduous.
The cars were at a stalemate with the weather. But why spend so much effort on the road? Time aside, kids spend giggling hours out in the snow banks. Each snowflake holds another miracle. Instead of a city stung with lights, the city is transformed into forts and snow people. Snowmen stand side by side with lopsided grins and a carrot for a nose. Boulders of snow are carefully aligned to defend against oncoming attackers. A couple of children are throwing snowballs at one another while some and lying on the ground, creating angels.
While the roads are heavily blocked by traffic, transport is so much faster when tobogganing or skiing down a hill. Tracks are created in the purity as people twist their way down from the top of the hill. Mothers push their children on sleds and their squeals of delight travel far through the neighbourhood.
Once inside, the family can cozy up next to the fireplace sipping marshmallow brimmed hot chocolate. While the raging whirlwind of a storm outside calms its flurries, the warmth inside the house is hazy. Dinner is served. No one wants to waste effort on the road as they all prefer to stay back with the family. By morning, the roads will be in better condition, but for now, everyone sits back and enjoys the unexpected time with family.
The next time winter frost sends chills up spines, the cold ugliness can be created into a miracle. The animals will return next spring in full kick. The warm nights will feel more rewarding. Winter is another part of the seasonal cycle; each season balancing each other out, one not better than the other. Winter, being the colder beauty of life.
The trees shed their clothing, the pale snow too much of a burden for them. They rid themselves of their essence, stripped down to bare bones. The skeletal arms of bushes and shrubs line the neighbourhoods like lonely souls on an empty street without even a small bud of life.
The few remnants of leaves on the naked twigs were brown and shrivelled. They sagged under the loss of life, they hung down in shame. Even the force of a soft wind sent them fluttering into the breeze, flitting uselessly to the ground. The ground which was just as vacant; the patches of dirt were empty shells. The flowers no longer sang in the golden afternoon. The grass was yellow and wilted, they no longer rippled in the breeze.
But the life was still there, it was always there. Old lives were shed to make way for new lives. The trees said farewell to their leaves in the expectation of even greener ones. They lost their colourful flowers only to welcome fresh buds of the spring. The leaves that they rid of would grow back more abundant than ever. Trees needed to keep up with the style too, their new leaves being 'in' while the old ones were 'out'. The dated flowers were put to rest for a brighter garden.
Animals bred in foreign countries. Birds flew miles away only to return stronger, more experienced. Squirrels took a rest to enjoy the joyous chorus come spring. Nature is cleansed, renewed to the next vitality.
Then, the first flake fell. It melted as soon as it touched the still warm earth. However, a thin sheet of snow soon layered the ground, the hills, the unprotected trees. The thin sheet promptly transformed into a frozen blanket. The roads showed signs of strain with each snowflake. The air was a flurry of snow, mist and frost.
Drivers pulled their hair off trying to see through the storm. Some cars skidded precariously close to the side walk. They drove through blind boundaries, everything covered with the treacherous snow. Each car was more hesitant than the other. They propelled their way slowly through traffic, careful not to bump into one another.
Monstrous snow plow trucks drove steadily down major streets, pushing tons and tons of snow off the road. As the white blanket was being removed, more just continued to pelt down. Some vehicles broke down and ceased to continue moving. Their wheels got stuck in the snow turning uselessly.
Walking conditions were more or less tough. Knee deep snow, getting everything wet. The sidewalks were piled over with mountains. People huffed trying to swim their way through the streets. With the heavy winter-wear, transportation by foot was arduous.
The cars were at a stalemate with the weather. But why spend so much effort on the road? Time aside, kids spend giggling hours out in the snow banks. Each snowflake holds another miracle. Instead of a city stung with lights, the city is transformed into forts and snow people. Snowmen stand side by side with lopsided grins and a carrot for a nose. Boulders of snow are carefully aligned to defend against oncoming attackers. A couple of children are throwing snowballs at one another while some and lying on the ground, creating angels.
While the roads are heavily blocked by traffic, transport is so much faster when tobogganing or skiing down a hill. Tracks are created in the purity as people twist their way down from the top of the hill. Mothers push their children on sleds and their squeals of delight travel far through the neighbourhood.
Once inside, the family can cozy up next to the fireplace sipping marshmallow brimmed hot chocolate. While the raging whirlwind of a storm outside calms its flurries, the warmth inside the house is hazy. Dinner is served. No one wants to waste effort on the road as they all prefer to stay back with the family. By morning, the roads will be in better condition, but for now, everyone sits back and enjoys the unexpected time with family.
The next time winter frost sends chills up spines, the cold ugliness can be created into a miracle. The animals will return next spring in full kick. The warm nights will feel more rewarding. Winter is another part of the seasonal cycle; each season balancing each other out, one not better than the other. Winter, being the colder beauty of life.
Sunday, 15 March 2015
Tuesday, 3 March 2015
La perseverance est la clé du succès
Il était une fois, une petite fille. Elle a vu un ordinateur portable d’Apple et elle a pensé qu’elle a besoin d’un. Qu’est-ce que ses parents ont dit? «Non!» Comme chaque parents, ils ont dit qu’un ordinateur portable va faire mal aux les yeux, c’est pas bon pour la santé, c’est un distraction et que les étudiants ont besoin d’étudier. Comme chaque enfants, elle a pensé que ses parents étaient incorrects parce que tous les enfants sont toujours correct, n’est-ce pas? Cette fille est moi. Bonjour, mesdames et messieurs, aujourd'hui, je vais vous raconter une histoire comment la perseverance est la clé du succès. Après, je vais parler d’une célèbrité qui est un exemple de la perseverance. Finalement, je vais expliquer qu’après quelques échecs, vous allez devenir plus forts et chevronné.
Comme l’ordinateur était destiné à moi, un jour plus tard, une lettre était trouvé dans ma boîte-aux-lettres. Une campagne de journaux a voulu trouver personnes pour faire de la livraison. Un jour chaque semaine, cent journaux doivent être organiser et distribuer à chaque maison. Hivers froids aux étés chauds, je travaillais très fort. Le travail était lent, très lent. Il prend environ 2 heures pour finir la livraison. De plus, il ne me donne pas beaucoup d’argent chaque mois. Une année est passé et finalement, j’ai échangé presque 2 milles dollars pour un ordinateur portable.
Vous toutes devez savoir Terry Fox. Il a eu la cancer dans une de ses jambes et il a eu besoin de l’amputer. Après, il a voulu toujour de courir d’un coté de Canada à l’autre. Il n’a pas arreté, jour après jour, la même course épuisante. Non, il surement n’a pas arreté. C’est pourquoi qu’on continue de le celebrer et developper le rêve de Terry Fox.
Avec du temps, on va être plus chevronné et on va apprendre plus. C’est comme le cas d’apprendre une langue. Pour les étudiants du français extensif, comme moi, nous avons commencé d’apprendre le français quand nous étions en quatrième année. Je peux encore me souvenir comment c’était difficile de dire une phrase. Maintenant, nous pouvons créer des conversations complete. Encore, nous pouvons preparer un discours! Quelle réussit! Le commencement est toujours difficile et c’est impossible d’éviter les erreurs, mais avec la pratique, ça va être plus simple. Tout le monde qui peut parler une langue avec facilité, c’est parce qu’ils n’ont pas quitté.
Les buts, grands ou petits, sont pas très difficiles d’accomplir. Pour trouver un remède pour le cancer, utilisez les petits pas et ça va être possible. Tout est possible avec du temps. À la fin, vous allez réaliser que tous les travaux ont valu la peine. J’espère que dans le futur, vous ne quittez pas et continuez de travail fort. La perseverance est la rue de la victoire. La perseverance est la clé du sucèss.
Comme l’ordinateur était destiné à moi, un jour plus tard, une lettre était trouvé dans ma boîte-aux-lettres. Une campagne de journaux a voulu trouver personnes pour faire de la livraison. Un jour chaque semaine, cent journaux doivent être organiser et distribuer à chaque maison. Hivers froids aux étés chauds, je travaillais très fort. Le travail était lent, très lent. Il prend environ 2 heures pour finir la livraison. De plus, il ne me donne pas beaucoup d’argent chaque mois. Une année est passé et finalement, j’ai échangé presque 2 milles dollars pour un ordinateur portable.
Vous toutes devez savoir Terry Fox. Il a eu la cancer dans une de ses jambes et il a eu besoin de l’amputer. Après, il a voulu toujour de courir d’un coté de Canada à l’autre. Il n’a pas arreté, jour après jour, la même course épuisante. Non, il surement n’a pas arreté. C’est pourquoi qu’on continue de le celebrer et developper le rêve de Terry Fox.
Avec du temps, on va être plus chevronné et on va apprendre plus. C’est comme le cas d’apprendre une langue. Pour les étudiants du français extensif, comme moi, nous avons commencé d’apprendre le français quand nous étions en quatrième année. Je peux encore me souvenir comment c’était difficile de dire une phrase. Maintenant, nous pouvons créer des conversations complete. Encore, nous pouvons preparer un discours! Quelle réussit! Le commencement est toujours difficile et c’est impossible d’éviter les erreurs, mais avec la pratique, ça va être plus simple. Tout le monde qui peut parler une langue avec facilité, c’est parce qu’ils n’ont pas quitté.
Les buts, grands ou petits, sont pas très difficiles d’accomplir. Pour trouver un remède pour le cancer, utilisez les petits pas et ça va être possible. Tout est possible avec du temps. À la fin, vous allez réaliser que tous les travaux ont valu la peine. J’espère que dans le futur, vous ne quittez pas et continuez de travail fort. La perseverance est la rue de la victoire. La perseverance est la clé du sucèss.
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